The secret life of words
Il est rare que je sorte d'une séance de cinéma en me disant : "ce film-là, j'aurais aimé l'avoir réalisé". The secret life of words m'a touchée droit au coeur, tout comme le premier film d'Isabel Coixet, Ma vie sans moi (2003), avec la même actrice Sarah Polley. On retrouve toute l'émotion et la douceur de la jeune réalisatrice espagnole, dans un sujet tout aussi grave. On retrouve également tout le talent de la jeune actrice canadienne, délicate et mystérieuse.
Le synopsis (traduit du site officiel du film) : Un lieu isolé au milieu de la mer. Une plateforme pétrolière où ne vivent que des hommes, ceux qui y travaillent, et où vient d’avoir lieu un accident. Une femme mystérieuse et solitaire, essayant d’oublier son passé (Sarah Polley) débarque sur la plateforme pour soigner un homme (Tim Robbins) qui a temporairement perdu la vue. Entre eux se crée une étrange intimité, un lien fait de secrets, tissé de vérités, de mensonges, d’humour et de souffrance, qui ne les laissera pas indemnes et changera leur vie. Un film sur le poids du passé. Sur le silence soudain qui se produit avant une tempête. Sur vingt-cinq millions de vagues, un cuisinier espagnol (Javier Cámara) et une oie. Et, par-dessus tout, sur la puissance de l'amour même dans les circonstances les plus terribles.
Le film, produit par Pedro et Augustin Almodovar (on remarque des ressemblances avec Parle avec elle), a été le grand gagnant des Goya 2006 : meilleur film, meilleure mise en scène, meilleur scénario original et meilleure production exécutive.
Le synopsis (traduit du site officiel du film) : Un lieu isolé au milieu de la mer. Une plateforme pétrolière où ne vivent que des hommes, ceux qui y travaillent, et où vient d’avoir lieu un accident. Une femme mystérieuse et solitaire, essayant d’oublier son passé (Sarah Polley) débarque sur la plateforme pour soigner un homme (Tim Robbins) qui a temporairement perdu la vue. Entre eux se crée une étrange intimité, un lien fait de secrets, tissé de vérités, de mensonges, d’humour et de souffrance, qui ne les laissera pas indemnes et changera leur vie. Un film sur le poids du passé. Sur le silence soudain qui se produit avant une tempête. Sur vingt-cinq millions de vagues, un cuisinier espagnol (Javier Cámara) et une oie. Et, par-dessus tout, sur la puissance de l'amour même dans les circonstances les plus terribles.
Le film, produit par Pedro et Augustin Almodovar (on remarque des ressemblances avec Parle avec elle), a été le grand gagnant des Goya 2006 : meilleur film, meilleure mise en scène, meilleur scénario original et meilleure production exécutive.
5 commentaires:
J'avais vu et beaucoup aimé "Ma vie sans moi" d'Isabel Coixet. Je parie que ce film-ci doit être aussi beau et sensible.
Il m'est déjà arrivé moi aussi de sortir d'une salle de cinéma et de me dire que j'aurais aimé réaliser tel film, ou écrit tel autre, mais c'est rare... Je pense à "Magnolia", "Eternal sunshine", et "De battre mon coeur s'est arrêté".
Ne te gène pas !
L'attaque de la Moussaka géante, j'avais trouvé ça vraiment nul, et même si c'est à ta portée t'as même pas envie de le réaliser ! Mais par contre si tu cherches qqn pour le gratin dauphinois... pense à moi.
Ca fait tellement longtemps que j'ai pas mangé un gratin dauphinois... Mmmm
Et moi ça fait tellement longtemps que j'ai pas mangé de moussaka !...
Je reviens un peu au film (eh oui, vous êtes bien éloignés du sujet!), parce que je suis allée le voir aujourd'hui, et je l'ai effectivement trouvé très bon. Bonne mise en scène, bon jeu d'acteur (le duo exceptionnel de Sarah Polley et Tim Robbins!), bon sujet...
J'admire ces cinéastes qui savent, avec rien (ou pas grand chose), nous troubler et nous émouvoir.
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