Premières leçons de conduite
L'autoécole étant saturée de monde, j'ai dû patienter plus d'un mois après avoir obtenu mon code : ça y est, j'ai enfin commencé les leçons de conduite. J'avais déjà été "initiée" par mon père et mon frère, sur un terrain vague près d'Athènes (photo). Mais la Citroën de mon père étant une essence, je démarrais difficilement et n'arrêtais pas de caler. Ils m'ont surtout appris quelques rudiments de technique, comme le lien entre le moteur, l'embrayage, le boîtier de vitesses et les roues...
J'ai donc fait connaissance avec les deux moniteurs qui m'accompagneront tout au long de mon apprentissage : Henry, le patron de l'autoécole, qui a la carure et l'âge d'un patron d'autoécole (!), et Miguel, qui ne m'est pas totalement inconnu puisque c'est lui qui assurait quelques uns des cours de code. J'ai appris qu'il vient d'avoir un bébé, une petite fille nommée Louise !
Lors de mes trois premières leçons, j'ai déjà pu apprécier les joies et les risques de la conduite. La joie d'apprendre et de mémoriser les suites de mouvements à exécuter, de comprendre l'importance du regard, la précision et la force des gestes. Celle aussi de commencer à prendre des initiatives, ainsi que de pouvoir participer à une discussion tout en conduisant (oui, déjà !). Mais aussi, quelle pression à gérer quand on me dépasse, me klaxonne, que je dépasse des obstacles ou même, que je dois éviter de justesse un piéton qui ne m'a pas vue arriver et se met brusquement à marcher sur la chaussée juste devant moi ! A juste titre, Miguel me disait de ne pas oublier de respirer !
J'ai donc fait connaissance avec les deux moniteurs qui m'accompagneront tout au long de mon apprentissage : Henry, le patron de l'autoécole, qui a la carure et l'âge d'un patron d'autoécole (!), et Miguel, qui ne m'est pas totalement inconnu puisque c'est lui qui assurait quelques uns des cours de code. J'ai appris qu'il vient d'avoir un bébé, une petite fille nommée Louise !
Lors de mes trois premières leçons, j'ai déjà pu apprécier les joies et les risques de la conduite. La joie d'apprendre et de mémoriser les suites de mouvements à exécuter, de comprendre l'importance du regard, la précision et la force des gestes. Celle aussi de commencer à prendre des initiatives, ainsi que de pouvoir participer à une discussion tout en conduisant (oui, déjà !). Mais aussi, quelle pression à gérer quand on me dépasse, me klaxonne, que je dépasse des obstacles ou même, que je dois éviter de justesse un piéton qui ne m'a pas vue arriver et se met brusquement à marcher sur la chaussée juste devant moi ! A juste titre, Miguel me disait de ne pas oublier de respirer !
3 commentaires:
Vlepo oti anagnorizeis kapoies protes idees pou pires apo ton baba kai ton adelfo sou. Mou areeeeesei.... Filakia. Babas
J'espère que tu vas aimer ces leçons de conduite ! C'est stressant bien sûr, surtout à partir du moment où le moniteur commence vraiment à mettre la pression (il y a deux caps je crois : la 10e et la 20e heure) mais malgré tout moi ça m'avait beaucoup plu. Quand je pense que ça fait pile un an que j'ai eu mon permis...!
Ca fait tout bizarre de te voir au volant d'une voiture!
Pour ce qui est des piétons, tu peux les écraser sans scrupule (même si ton moniteur n'ose pas encore te le dire), sinon tu ne cesseras pas de stresser, surtout qu'ils ont l'habitude de débouler à tout bout de champ, les piétons Parisiens... :p
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