Septembre à Créteil
Plusieurs amis m'ont demandé à quoi je passais mon temps, maintenant que je ne travaille plus, en attendant la rentrée universitaire. A chaque fois, je réfléchis un peu avant de leur répondre, tellement j'ai du mal à me rendre compte moi-même à quoi je m'occupe.
Il y a les choses concrètes et inintéressantes à raconter : les leçons de conduite se sont poursuivies jusqu'à la décision de passer en conduite accompagnée, et j'ai passé quelques après-midis dans les files d'attente, à la recherche de renseignements sur le planning et le début des cours, ou d'un bureau improbable à un étage inexistant du Centre d'Assas.
Il y a aussi les moments les plus agréables, les soirées entre amis, au ciné ou au restau, chez eux ou chez moi. En même temps, j'ai pu constater qu'il y en a tout de même un certain nombre qui ont déserté Paris, soit pour rentrer dans leur pays d'origine, soit pour tenter l'aventure ailleurs, à tel point que je me retrouve avec davantage d'amitiés éloignées que d'amitiés proches. Merci le net !
Mais la plupart du temps, je suis restée au calme, tranquille à la maison, où j'ai passé énormément de temps devant l'ordinateur. A traiter des images sur Photoshop, pour le blog sur mes vacances (Express Aphrodite) et la mise à jour d'une boutique en ligne d'artisanat japonais (Kazé) ; à regarder des épisodes de Desperate Housewives au rythme d'un par jour en moyenne, en guise de cours d'anglais ; à mettre à jour une traduction et à corriger le mémoire d'un ami ; à faire des recherches en tout genre sur le net et découvrir des sites (comme un amusant créateur de poupées) ou des clips sympathiques (comme celui de Kamini) ; ...et à chater. Et au final, le temps est passé si vite, trop vite...
Bientôt, les choses s'accélèreront à nouveau et je retrouverai une vie plus active... et surtout, moins virtuelle.
Il y a les choses concrètes et inintéressantes à raconter : les leçons de conduite se sont poursuivies jusqu'à la décision de passer en conduite accompagnée, et j'ai passé quelques après-midis dans les files d'attente, à la recherche de renseignements sur le planning et le début des cours, ou d'un bureau improbable à un étage inexistant du Centre d'Assas.
Il y a aussi les moments les plus agréables, les soirées entre amis, au ciné ou au restau, chez eux ou chez moi. En même temps, j'ai pu constater qu'il y en a tout de même un certain nombre qui ont déserté Paris, soit pour rentrer dans leur pays d'origine, soit pour tenter l'aventure ailleurs, à tel point que je me retrouve avec davantage d'amitiés éloignées que d'amitiés proches. Merci le net !
Mais la plupart du temps, je suis restée au calme, tranquille à la maison, où j'ai passé énormément de temps devant l'ordinateur. A traiter des images sur Photoshop, pour le blog sur mes vacances (Express Aphrodite) et la mise à jour d'une boutique en ligne d'artisanat japonais (Kazé) ; à regarder des épisodes de Desperate Housewives au rythme d'un par jour en moyenne, en guise de cours d'anglais ; à mettre à jour une traduction et à corriger le mémoire d'un ami ; à faire des recherches en tout genre sur le net et découvrir des sites (comme un amusant créateur de poupées) ou des clips sympathiques (comme celui de Kamini) ; ...et à chater. Et au final, le temps est passé si vite, trop vite...
Bientôt, les choses s'accélèreront à nouveau et je retrouverai une vie plus active... et surtout, moins virtuelle.
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