Scoop, pour rire de la mort
Remplacer un cours de réseaux (informatique pure et dure) par une séance de cinéma divertissante, quoi de plus agréable au cours d'une semaine de travail intensive. Merci Woody ! Dans Scoop, comme dans Match Point, nous sommes à Londres en compagnie de Scarlett Johanson, la nouvelle muse du cinéaste. Mais il s'agit cette fois d'une comédie légère et croustillante, avec la présence de Woody Allen à l'écran dans le rôle d'un magicien, qui bégaie et gesticule comme il en a l'habitude dans la plupart de ses comédies.
L'histoire : L'enquête du célèbre journaliste d'investigation Joe Strombel, consacrée au "Tueur au Tarot" de Londres, tourne court quand il meurt de façon aussi soudaine qu'inexplicable. Mais rien, pas même la mort, ne peut arrêter Joe. A peine arrivé au purgatoire, il décide de transmettre ses toutes dernières informations à la plus charmante des étudiantes en journalisme : Sondra Pransky. De passage à Londres, Sondra entend le fantôme de Joe s'adresser à elle durant un numéro de magie de l'Américain Splendini, alias Sid Waterman. Bouleversée et folle de joie à l'idée d'avoir déniché le scoop du siècle, l'effervescente créature se lance avec Sid dans une enquête échevelée, qui les mène droit au fringant aristocrate et politicien Peter Lyman. Une idylle se noue en dépit de troublants indices semblant désigner le beau Peter comme le "Tueur au Tarot". Le scoop de Sondra lui sera-t-il fatal ?
A travers cette comédie policière, je dois dire que ce qui m'a le plus marqué c'est à quel point on peut rire de la mort ! Entre le journaliste - ou plutôt son esprit - qui est ressuscité pour transmettre le "scoop", la Mort avec sa faux qui apparaît dans une mise en scène théâtrale du purgatoire, ou d'autres gags visuels et sonores (l'accident final, mais je n'en dirai pas plus pour ceux qui n'ont pas vu le film...), Woody Allen multiplie les allusions osées sur un thème qui n'est... plus grave du tout. Il réussit également à éviter toute forme d'images violentes alors qu'il traite d'un tueur en série...
Enfin, il nous donne à voir les choses les plus incroyables et invraisemblables avec le plus grand naturel... comme une évidence.
L'histoire : L'enquête du célèbre journaliste d'investigation Joe Strombel, consacrée au "Tueur au Tarot" de Londres, tourne court quand il meurt de façon aussi soudaine qu'inexplicable. Mais rien, pas même la mort, ne peut arrêter Joe. A peine arrivé au purgatoire, il décide de transmettre ses toutes dernières informations à la plus charmante des étudiantes en journalisme : Sondra Pransky. De passage à Londres, Sondra entend le fantôme de Joe s'adresser à elle durant un numéro de magie de l'Américain Splendini, alias Sid Waterman. Bouleversée et folle de joie à l'idée d'avoir déniché le scoop du siècle, l'effervescente créature se lance avec Sid dans une enquête échevelée, qui les mène droit au fringant aristocrate et politicien Peter Lyman. Une idylle se noue en dépit de troublants indices semblant désigner le beau Peter comme le "Tueur au Tarot". Le scoop de Sondra lui sera-t-il fatal ?
A travers cette comédie policière, je dois dire que ce qui m'a le plus marqué c'est à quel point on peut rire de la mort ! Entre le journaliste - ou plutôt son esprit - qui est ressuscité pour transmettre le "scoop", la Mort avec sa faux qui apparaît dans une mise en scène théâtrale du purgatoire, ou d'autres gags visuels et sonores (l'accident final, mais je n'en dirai pas plus pour ceux qui n'ont pas vu le film...), Woody Allen multiplie les allusions osées sur un thème qui n'est... plus grave du tout. Il réussit également à éviter toute forme d'images violentes alors qu'il traite d'un tueur en série...
Enfin, il nous donne à voir les choses les plus incroyables et invraisemblables avec le plus grand naturel... comme une évidence.
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