Conversation(s) avec une femme
Conversation(s) avec une femme (Conversation with other women), de Hans Canosa, est un film sensible, aux dialogues intelligents et vrais et à la mise en scène audacieuse, avec l'intéressante utilisation du "split-screen" qui divise l'écran en deux pendant tout le film, et deux acteurs formidables, Helena Bonham Carter et Aaron Eckhart.
Le synopsis est bref :
Un homme, une femme.
Leurs retrouvailles un soir de mariage.
Quelques coupes de champagne et le passé refait surface...
Mais il n'y a pas besoin de plus : nous assistons, en huit clos, à une conversation qui dure toute une nuit... deux personnages qui se rencontrent, qui se reconnaissent, qui évoquent le passé et le présent, puis qui se laissent aller à leurs sentiments malgré les conséquences que cela peut impliquer dans leurs vies. Le split-screen donne à voir leur expression en parallèle, pour chaque scène, filmée en temps réel : on suit ainsi le cheminement émotif de chacun des personnages au fil de la nuit : humour, séduction, complicité, rêverie... L'écran divisé matérialise le décalage entre les personnages, le caractère illusoire de leur désir d'union ; il permet aussi d'avoir recours à des flash-back, des incursions mentales vers le passé.
Les chansons de Carla Bruni répondent avec un petit air négligeant et détaché au propos du film.
Le synopsis est bref :
Un homme, une femme.
Leurs retrouvailles un soir de mariage.
Quelques coupes de champagne et le passé refait surface...
Mais il n'y a pas besoin de plus : nous assistons, en huit clos, à une conversation qui dure toute une nuit... deux personnages qui se rencontrent, qui se reconnaissent, qui évoquent le passé et le présent, puis qui se laissent aller à leurs sentiments malgré les conséquences que cela peut impliquer dans leurs vies. Le split-screen donne à voir leur expression en parallèle, pour chaque scène, filmée en temps réel : on suit ainsi le cheminement émotif de chacun des personnages au fil de la nuit : humour, séduction, complicité, rêverie... L'écran divisé matérialise le décalage entre les personnages, le caractère illusoire de leur désir d'union ; il permet aussi d'avoir recours à des flash-back, des incursions mentales vers le passé.
Les chansons de Carla Bruni répondent avec un petit air négligeant et détaché au propos du film.
2 commentaires:
Tiens c'est drôle de voir les chansons de Carla Bruni dans la bande originale d'un film anglo-saxon (américain ?). Curieux je suis.
J'adore cette actrice, j'ai hâte de voir le film ;)
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