It might get loud
Dans le cadre du festival Pop Montréal, j'ai eu l'occasion d'assister à la projection du film It might get loud de Davis Guggenheim au Cinéma du Parc. Le film réunit trois guitaristes rock de haute voltige, et de générations différentes, pour une rencontre explosive : Jimmy Page (Led Zeppelin), The Edge (U2) et Jack White (The White Stripes).
Les images de cette rencontre s'entremêlent avec des interviews et des images d'archives, mais aussi avec le retour des trois personnages sur des lieux qui ont marqué leur carrière. Les contextes historiques dans lesquels chacun d'entre eux a évolué sont mis en parallèle, mais aussi et surtout leur personnalité artistique propre et leur passion qu'ils partagent pendant leur rencontre.
Un des éléments qui ressort le plus, c'est la recherche personnelle, l'expérimentation pour découvrir de nouvelles sonorités ou des manières de jouer différentes. On comprend que le traitement électrique du son laisse d'infinies possibilités à explorer par les artistes.
Le documentaire magnifie les guitaristes et rend un vibrant hommage (c'est le cas de le dire !) à la guitare électrique. Les nombreux gros plans sur les instruments montrent une certaine fascination que le réalisateur tente de nous transmettre. Le dispositif mis en place pour filmer la rencontre, dévoilé juste avant le générique de fin, donne aussi une idée de la complexité de filmer un "événement" avec de la musique live et une grande spontanéité, dont on ne veut pas risquer de râter une seule miette.
Le film donne envie de se replonger dans des images et des sons et d'aller en chercher encore davantage sur les protagonistes. De redécouvrir les grands classiques (ou les nouveaux) sous un jour différent, en étant plus attentif à la guitare électrique et à sa "répartie" par rapport à la voix du chanteur.
Les images de cette rencontre s'entremêlent avec des interviews et des images d'archives, mais aussi avec le retour des trois personnages sur des lieux qui ont marqué leur carrière. Les contextes historiques dans lesquels chacun d'entre eux a évolué sont mis en parallèle, mais aussi et surtout leur personnalité artistique propre et leur passion qu'ils partagent pendant leur rencontre.
Un des éléments qui ressort le plus, c'est la recherche personnelle, l'expérimentation pour découvrir de nouvelles sonorités ou des manières de jouer différentes. On comprend que le traitement électrique du son laisse d'infinies possibilités à explorer par les artistes.
Le documentaire magnifie les guitaristes et rend un vibrant hommage (c'est le cas de le dire !) à la guitare électrique. Les nombreux gros plans sur les instruments montrent une certaine fascination que le réalisateur tente de nous transmettre. Le dispositif mis en place pour filmer la rencontre, dévoilé juste avant le générique de fin, donne aussi une idée de la complexité de filmer un "événement" avec de la musique live et une grande spontanéité, dont on ne veut pas risquer de râter une seule miette.
Le film donne envie de se replonger dans des images et des sons et d'aller en chercher encore davantage sur les protagonistes. De redécouvrir les grands classiques (ou les nouveaux) sous un jour différent, en étant plus attentif à la guitare électrique et à sa "répartie" par rapport à la voix du chanteur.
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